14 octobre 2013
[Images arrêtées & idées fixes —
Jeu de l’Oie grandeur nature.]
Signes de piste, choix sans issue.
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10 octobre 2013
[Enfin brefs, un recueil de microfictions
d’auteurs contemporains ou morts de longue date,
collectifs ou sous pseudo, par ouï-dire ou inexistants.]
L’envie de composer un recueil de formes brèves – qui m’était venue, il y a quelques années, chez Verticales – a migré ici, pour contourner l’épineux problème du droit de «citation partielle» des auteurs décédés il y a moins de 70 ans et a fortiori des vivants. Précisons d’emblée la nature du projet : distinguer parmi toutes sortes de textes courts ceux qui auraient à voir avec du récit, non pas le roman ni la nouvelle, mais tous les états – naissants, inaboutis, lacunaires, poreux, écourtés exprès ou gâchés d’avance – du pré-narratif. Et d’un seul coup, les neuf dixièmes des écrits fragmentaires s’excluent du corpus – de la maxime sentencieuse à la micro-notation intime en passant par le commentaire critique –, non par manque d’intérêt, juste pour s’en tenir à notre quête initiale : l’ébauche d’une fiction, encore embryonnaire ou interrompue avant terme, peu importe, du moment que ça commence à raconter l’ombre du soupçon d’une trace d’une situation quelconque ou à esquisser la silhouette de quelque personnage.
Vaste programme… minimaliste.
Au sommaire de cette compilation de micro-récits, on compte déjà plusieurs dizaines d’auteurs morts ou vifs : Max Aub, Roland Barthes, René Belletto, Thomas Bernhard, Pierre Bettencourt, Ambrose Bierce, Jorge Luis Borges, Henri Calet, Elias Canetti, Lewis Carroll, Chaval, Marcel Cohen, Julio Cortazar, Diogène, roland Dubillard, Marcel Duchamp, Félix Fénéon, F. Scott Fitzgerald, Gustave Flaubert, Max Frish, Carlo Emilio Gadda, Dora Garcia, Jean Genet, Ramon Gomez de la Serna, Jean-Marie gourio, Héraclite, Régis Jauffret, Franz Kafka, Hervé Laroche, Hervé Le Tellier, Édouard Levé, Georg C. Lichtenberg, Raymonde Linossier, Pierre Louÿs, René Magritte, Marcel Mariën, M. V. Martial, Loys Masson, Harry Mathews, Henri Michaux, Augusto Monterroso, Ito Naga, Paul Nougé, Istvan Örkeny, Yves Pagès, Georges Perec, Benjamin Péret & Paul Éluard, Georges Perros, Raymond Queneau, Grisélidis Réal, Érik Satie, Jane Sautière, Louis Scutenaire, Pierre Senges, Sei Shônagon, Stendhal, Jacques Sternberg, Jean Tardieu, Gianni Toti, Antoine Volodine, Gabrielle Wittkop, Fabienne Yvert.
On compte aussi par mal d’écrits minuscules, légendes durables & propos rapportés de quelque génie collectif & d’autres mains anonymes : Augures nocturnes, Billets de change, Bottin des filles de joie, Comptines, Diaporama psychométrique, Avis de disparition, Décompte des hivers (peuple sioux), Errata, Témoignages de femmes battues, Faits divers à contre-emploi, Graffiti de chiottes, Haïkus érotiques, Horoscopes, Impostures prophétiques (arabo-persanes), Lapsus, Légendes urbaines, Livres d’or, Messages personnels (BBC), Confidences de soldats (Front russe), ex-Petites annonces de Libération, Proverbes exotiques, Rêves prémonitoires, Inscriptions murales (Sorbonne 68), Stencils au pochoir, Spams, Vœux pieux, Procès-verbaux de migrants.
[Le recueil des Enfin Brefs ne cessant
de s’enrichir au fil du temps,
on en trouvera la somme provisoire
à feuilleter ou télécharger ici même.]
Pour les mordus de blind test, ou, à l’inverse, pour la amateurs de lecture transversale, hors surmoi littéraire & étiquetage référentiel, quelques extraits du recueil sélectionnés dans un savant désordre, sens dessus dessous et sans aucune mention d’auteur. Bien évidemment nous avons choisi quelques cas de figure exemplaires parmi les plus concis, faute de place.
Je l’ai d’abord tué en rêve, ensuite je n’ai pu m’empêcher de le faire vraiment. C’était inévitable.
Il a commencé à rédiger ses lettres d’adieu. Il prévoit d’y consacrer quelques années.
Je suis né sans laisser d’adresse.
FIANCÉE n. f. : Jeune personne qui a une belle perspective de bonheur derrière elle.
Si je ne suis que différences, seul face au mur, est-ce encore de moi qu’il s’agit.
Descartes rapporte que les singes pourraient parler s’ils le voulaient mais qu’ils ont décidé de garder le silence pour qu’on ne les oblige pas à travailler.
Nos lecteurs veulent bien prendre note qu’une faute de frappe s’est produite dans l’astrologie du vendredi 19 mars. Pour le signe du Lion, il aurait fallu lire: «Évitez de perdre votre temps avec des gens qui ne sont bons qu’à le tuer.», et non à «les tuer».
Tombant de l’échafaudage en même temps que le maçon Dury, de Marseille, une pierre lui broya le crâne.
Dans la rue, un homme qui porte sous le bras un tableau représentant le ciel rencontre un homme qui porte sous le bras un tableau représentant la forêt.
Contre quoi n’êtes-vous pas assuré?
Sous une pluie de bombes, un moraliste sauva sa femme, ses enfants, les fauteuils du salon et l’horloge à coucou.
Sauf que moi, j’ai toujours habité en fille.
Persuader une personne qu’en réalité elle est morte
L’enfant est de vous
mais voulez-vous vraiment
que je le mène à terme?
Je voudrais bien connaître le titre du dernier livre qui sera imprimé.
Une violoncelliste de vingt-quatre ans est assise, nue, les jambes écartées sur un tabouret dans sa chambre, à Manille: sa main gauche retrousse les plis de sa vulve tandis que sa main droite, dans un trémolo effréné fait glisser un archet sur son clitoris.
J’aimerais vivre vieux mais parfois non
«Docteur, je ne sais pas ce que j’ai, je vois souvent rouler au loin des tours noires.» Or, au fond de l’œil, un escargot lentement glissait. Au patient, inquiet, que dit alors l’oculiste?
L’ennemi a troué ma chemise et mon dos aussi. Ma mère aura pitié du dos, mais elle regrettera davantage la chemise.
Pourquoi, me dira-t-elle, n’as-tu pas enlevé ta chemise avant d’être blessé?
Je sais que dans un zoo anglais, un requin est mort paniqué par le plongeon d’un type dans son bassin.
TRAVELO. Du boulot pour un travelo. Vraiment désespéré, travelo, 25 ans, cherche travail femme de ménage ou autre à Marseille. Vêtu en femme avec ou sans barbe et sans nichons, suivant l’époque.
Il criait «Dieu est mort» en se bouchant les oreilles.
WALTER — Jeune homme suisse-allemand, très gentil, voyage beaucoup, travaille dans les produits désinfectants – queue qui ne se retrousse pas – sucer, baise, 80 Frs.
Une fois, il n’y eut pas de fée, ni d’enchanteur, ni de fille de roi sauvée par un beau prince.
Je fais la cuisine au restaurant le Royal-Drancy. Là-bas, on ne me donne pas de salaire, mais je suis nourrie.
Cinquante personnes manifestent sans objet avec des panneaux et des banderoles sur lesquels rien n’est écrit.
Silencieux, ils marchent sur les trottoirs. La manifestation est filmée jusqu’à sa neutralisation par les forces de l’ordre.
La situation étant donnée, je crois que je choisirais le couvent.
Il avait un tel souci de ne pas causer de dérangement qu’il referma la fenêtre derrière lui, après s’être jeté dans le vide du haut du sixième étage.
J’ai revendu les 3 dents de mon père en or
Les hommes éveillés n’ont qu’un monde, mais les hommes endormis ont chacun leur monde.
Il y a dans mon appartement une porte que je n’avais pas remarquée jusqu’à aujourd’hui.
Je m’appelle Érik Satie, comme tout le monde.
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7 octobre 2013
[Images arrêtées & idées fixes —
Métonymie anatomique (3).]
Tristes clones en pièces détachées.
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2 octobre 2013
[Prophéties horoscopiques &
autres conseils devinatoires
sans prendre les messies
pour des lanternes.]
BÉLIER
L’indécision vous bloque, et ce n’est pas votre faute si les oracles des cieux demeurent impénétrables. Gardez-vous de trancher en quelque matière, de préférer tel ou telle partenaire. Acceptez et le ying et le yang, laissez-vous bercer par les courants contraires en spectateur obéissant. Patience, les transits de Mars vous redonneront bientôt l’initiative. Entre-temps, profitez-en pour opiner et démentir, tâter du pour et du contre, sans céder surtout à une conclusion précipitée.
TAUREAU
Vous avez commis l’irréparable – fumé une cigarette après 5 ans d’abstinence, cassé les lunettes de votre enfant d’un revers de main, tutoyé agressivement un gardien de la paix ou perpétré un braquage sous un masque d’emprunt. Déjà les remords vous assiègent. Chassez ce flux négatif de votre esprit. Et s’il vous reste un doute, n’y voyez que l’emprise ombrageuse d’un mauvais emplacement lunaire.
GÉMAUX
C’est le moment ou jamais de tenter votre chance au bandit manchot, à la roulette, au poker ou au Black Jack. Et n’oubliez pas de remplir votre grille de Loto, ni de miser le maximum au PMU sur les bourrins les moins cotés du lot. Tous les jeux de hasard vous souriront. Bonne fortune qui ne se reproduira pas avant le prochaine année bissextile. Alors faites-vous confiance aveuglément. Sauf en amour, déveine assurée.
CANCER
Attention aux allergies. Big Bang négatif quelque que soit l’ascendant. Mauvais signe sur toutes la ligne. Agoraphobie, claustrophobie, autophobie.
LION
Votre ménage bat de l’aile, rompez les amarres, coupez les ponts, jouez avec le feu, brûlez les vaisseaux et, grâce aux influences mitoyennes de Vénus et de Mars, fiez-vous à la première rencontre aventureuse qui saura vous mettre le cœur en émoi, fût-ce avec un(e) professionnel(le) tarifé(e). Ne ratez pas cette bonne passe, convolez en adultère, c’est l’agencement planétaire idéal pour atteindre le septième ciel.
VIERGE
Si vous êtes insulino-dépendant, mis à pied pour faute lourde, endetté sous curatelle, rattrapé par quelque arriéré fiscal, chômeur radié d’office, complexé d’œdipe ou de Peter Pan, en soin palliatif ou en fin de droits, dans la phase actuelle, l’état désastreux de votre thème semble stationnaire. Rien de nouveau sous le soleil.
BALANCE
Vous voilà tel qu’en vous-même – morose chronique ou gai-luron, râleur impénitent ou imbécile heureux –, aucun souci, la chose va perdurer à l’identique. Tout vous est étal, ni mieux ni pire, une semaine sans surprise, à l’image des précédentes, et ça ne risque pas de changer d’orbite avant le prochain solstice.
SCORPION
Depuis peu, chaque propos se retourne à vos dépends, et cela durera tant que Saturne n’aura pas quitté son aspect dysharmonique. Alors évitez les remarques déplacées, les jugements hâtifs, les déclarations intempestives, les arguties douteuses, les digressions indigestes. Bref, cédez la parole, taisez-vous. Et observez l’effet que cette humeur mutique ne manquera pas de produire sur votre entourage. Pour les silencieux de naissance, laissez vous aller à votre discrétion habituelle.
SAGITTAIRE
Arrêtez d’économiser votre talent, cessez d’épargner votre capital sympathie. Dépensez-vous sans compter. Si vous avez un compte d’épargne bien rempli, shopping à volonté. Si vous êtes interdit bancaire, vous avez encore le pouvoir de vous racheter. Acceptez un emploi bénévole. Rendez service à autrui.
CAPRICORNE
Même si la situation de votre couple est dans une phase moins critique, même si votre compte bancaire est sorti du rouge, même si une promesse d’augmentation se profile à l’horizon, ce n’est pas le moment de fonder un foyer, ni d’interrompre votre grossesse, ni de changer d’orientation sexuelle. Suspendez toute velléité d’agir en attendant que Jupiter sorte de son éclipse subliminale.
VERSEAU
Ne ratez pas votre heure. Concorde zénithale sur la cadran. Ici et maintenant. Hic et nunc, dirait Nostradamus. Vous avez rendez-vous avec votre seconde nature.
POISSON
Une pluie de météorites est annoncée, autrement dit, du sang, de la sueur ou des larmes. Pour les natifs du première décan, vous tomberez de si haut qu’une semaine entière ne suffira pas à épancher vos pleurs. Pour les autres : fausses couches fréquentes, accidents cardio-vasculaires, hémorragies cérébrales et ulcères de l’estomac. Mais pas de panique. Il suffit d’anticiper cette zone de turbulence stellaire, plutôt que de la subir. Mieux vaut prévenir que mourir. Alors un seul moyen : faites-vous mettre en arrêt maladie dès à présent. Sous n’importe quel prétexte.
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29 septembre 2013
[Images arrêtées & idées fixes —
Zone de perplexité comateuse.]
Suis-je encore ici-bas ? ou peut-être au-delà ?
Et pour passer en revue
d’autres images du même cru,
tout le vrac en continu
sur le diaporama 2013.
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17 septembre 2013
[Le Street Art dans tous ses états —
Les stickers «Adages Adhésifs»
intervention en milieu urbain.]
Avec l’ami graphiste & plasticien Philippe Bretelle, on a conçu une vingtaine d’autocollants, de dix centimètres sur quinze, en noir sur blanc… et réciproquement. On a appelé ça «Adages adhésifs», par goût de l’euphonie dadaïste. Avec juste trois quatre cinq mots maximum dessus, et pas mal de sous-entendus en suspens, puisque ces bribes de phrases n’attendent que ça, se glisser discrètement dans le décor urbain, pour y semer la discorde ou générer d’infimes lignes de fuite.
Ces messages subliminaux n’ont rien à promouvoir, aucun blaze à mettre en relief, ni logo à populariser. Ils ne prennent leur sens qu’in situ, en plein air (de rien), au moindre recoin de la rue, n’importe où mais pas n’importe comment, pour que ça colle vraiment entre brève de style et fragment de réalité. Histoire d’en foutre partout où ça nous plaît, d’inventer de petites légendes à la vie quotidienne, de la sous-titrer pour de faux, de lui trouver des raccourcis scotchants et de délimiter par-ci par-là des zones de polysémie clandestine, des lapsus visuels, bref, très littéralement des lieux-dits.
Alors, pour donner le mauvais exemple, ci-dessous, quelques photos de ces bribes d’aphorismes & autres parasites verbaux pris en flagrant délit de dégradation de l’espace publique.
Pour suivre à la trace la dissémination urbaine de ces stickers, on avait déjà donné un échantillon de photos ici et là.Certains s’en sont fait l’écho en bien.
Quant au diaporama complet, c’est ici même.
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9 septembre 2013
[Images arrêtées & idées fixes —
Essais de taxidermie libidinale.]
Petits trophées du prêt-à-porter.
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3 septembre 2013
[Pub à contre-emploi —
Détournement de fonds.]
En période d’austérité, réussir ses actes manqués.
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29 août 2013
[Légendes urbaines
& rumeurs à la chaîne —
Paraboles, ras-le bol !?]
Chez nous, les aiguilles de la montre se sont arrêtées y’a perpète, pile en octobre 88, et depuis vingt-cinq ans plus rien qui tourne rond en Algérie, sauf l’ennui en boucle dans la tête, comme qui dirait en parabole, cinq cents morts d’après le compte à rebours officiel, toute ma génération zombifiée, c’était ça le prix à payer pour s’être révolté trop tôt, t’imagines, faire le printemps arabe en plein automne, drôle d’idée, fatale erreur de jeunesse, on n’a jamais raison avant la bonne saison, et aujourd’hui, c’est mort, interdit de sortir depuis un quart de siècle, et leur loi du silence, un vrai croissant de lune au fond de la gorge, comme qui dirait en parabole, chacun chacal pour bouffer ses martyres, d’ailleurs aux élections d’après, en 89, on n’a pas eu le choix, enfin si, la peste ou le choléra, comme qui dirait en parabole, soit t’absous les corrompus soit t’adores les barbus, dix ans de ballotage, et pour quel résultat ? deux cent mille morts au fond des urnes, tous rayés de la carte électorale, et les autres sans opinion publique, une guerre qui a même pas de nom, juste la décennie trou noir, entre frères ennemis sortis du ventre de la même mère, l’aîné sous l’uniforme et le cadet sous sa barbe postiche, deux chances sur deux de se tromper, et à chaque barrage routier que des brebis tondues et des ânes battus, comme qui dirait en parabole, le cheptel des vaincus, ensuite passé l’an 2000, il a bien fallu réconcilier les morceaux, proclamer la paix des braves entre GIA et FLN, cinquante-cinquante sur le racket import-export, gaz naturel ou Marlboro clando, chacun ses torts amnistiés à part égale du bizness, et même si le pire est derrière nous, l’horizon, lui, il arrête pas de reculer, comme qui dirait en parabole, c’est le temps mort qui n’en finit pas, ça remonte à plus loin qu’on croit, l’âge d’or des années 70, les cadeaux empoisonnés de Boumédienne, tout le pouvoir au soviet des généraux, et les imams en embuscade, le grand bond en avant, mon œil, retour aux sources du désert, l’arabisation coranique puis le code la famille, et ça, dans le genre, c’était la pire des paraboles, mais du coup on leur a renvoyé dans la gueule, dix vingt trente millions sur le toits et les balcons, des paraboles partout!, vu que c’était couvre-feu permanent, on a fait semblant d’obéir au doigt et à l’œil, tous cloîtrés chacun chez soi pour mieux dégager ailleurs, chez Canal + ou Al Jazeera, juste avec sa télécommande et même le décodeur pirate, histoire de zapper où tu veux sans visa, parce que ça sert d’abord à ça la parabole, une idée fixe pour se barrer sans que ça se voie.
Ce petit monologue fait suite à d’autres textes courts de la même sensibilité paranoïaque-critique et pseudo-auto-réalisante, une série entamée sur ce blog depuis plus d’un an. J’en ai regroupé l’essentiel dans un petit fichier pdf. qui évoluera au gré des ajouts ultérieurs. Ça aurait pu s’intituler Micro-mytho-récits. On a tranché pour Choses tues, dont le fichier est consultable ici même.
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26 août 2013
[Une vacance, des vacances —
Photo-feuilleton en 18 stations.]
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