Depuis lors, en ce même renfoncement du 12 rue de la rue Michel, plusieurs sans-logis ont élu leur domicile précaire au gré des coups de froid, des records de pluviométrie ou des pics de canicule. C’était encore le cas il y a mois comme j’ai pu le vérifier en filant une clope au résident du moment. D’où ma surprise en apercevant la semaine dernière que de hautes grilles avaient été érigées pour condamner cette zone de repos précaire. Qu’on en juge de visu.
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