7 juillet 2010
[Lendemains de fête — Oraison pas funèbre.]

La semaine dernière, aux Subsistances de Lyon, François Beaune fêtait la première du Majestic Louche Palace, pot-pourri bordélique réinventant son premier roman, Un homme louche, sous forme de cabaret.

D’ordinaire, je préfère éviter le blabla promotionnel de pure copinage pour les écrivains qui émargent chez Verticales. Sauf dans certains cas extrêmes… comme la disparition dudit auteur.
Mais là, c’est pas le cas, plus vivant que jamais, mais justement, c’est lui qui m’a forcé à rédiger un petit éloge posthume du personnage principal de son bouquin, Jean-Daniel Dugommier, décédé il y a deux ans à peine. Pour commémorer l’anniversaire plausible de la mort officielle d’un inconnu fictif, j’ai passé outre mes scrupules et fini par m’exécuter. En alexandrin, au tout début, et puis j’ai changé d’idée parce que c’est pas si facile, douze pieds, quand on n’a que cinq doigts à chaque main.

Le texte, intégralement revu et corrigé par Word 2004 pour Mac, ici même.

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