28 septembre 1992
[Journal de bord — Extraits.]

En récrivant ma thèse pour en faire un bouquin au Seuil, je m’aperçois que l’idée de « maux sans remèdes » – ces « problèmes sans solution » qui se résolvent en paradoxes vivants qui eux-mêmes agissent sur la conscience comme des aiguillons subversifs ou émotifs –, c’est pas seulement sur Céline que ça joue, mais sur mon idée plus confusément générale de la vie.

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