25 août 2011
[Auto-promo orchestrale  —
Sainte-Nitouche, le retour.]

En 2002 Luis Naón m’a demandé d’écrire le livret d’un oratorio pour un petit ensemble instrumental et la soliste mezzo-soprano Sylvia Marini (qui, hasard délicieux, n’est autre que la fille de Giovanna Marini, ethno-musicologue, chef de chœur et interprète de l’inoubliable Lamento per la morte di Pasolini). Je me suis exécuté en vers libre, en imaginant le monologue d’une effeuilleuse de Peep Show. Sainte-Nitouche,  la fille ni bien ni mal, ça s’intitule. En contre-point la comédienne Agnès Sourdillon s’est chargée des didascalies sur bande-enregistrée et moi-même des petites annonces en voix-off.
Comme souvent avec la musique contemporaine, ça ne s’est pas joué souvent (deux fois), sauf que là, c’est bien parti pour tripler la mise, en Argentine, à Buenos Aires, dans la petite salle de l’Opéra, rien que ça,
du 26 au 29 août.

Pour faciliter le transport au long cours (avant l’enregistrement très prochain d’un vrai CD), autant aller se faire sa petite idée à distance en écoutant de larges extraits ou en feuilletant le texte intégral, le tout à disposition ici-même.

Pour faire circuler ce texte, le lien est ici même